28 mars 2010
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12:28
Depuis le mort de ses parents, Sandra vit seule dans la grande maison familliale qu'elle a reçue en héritage. L'antique bâtisse comporte un étage, un grand jardin, et est plutôt isolée. L'une des choses les plus impressionante est sans aucun doute la grande baie vitrée qui s'étend sur tout le mur du salon, derrière la télévision, et qui ouvre sur le jardin.
Quand la jeune femme s'installe dans son canapé, elle a donc une magnifique vue sur les fleurs que sa mère avait amoureusement cultivées.
Un soir, Sandra rentre assez tard du travail, et, fatiguée, s'installe dans le canapé du salon. D'un coup de télécommande, elle allume le poste de télévision, qui diffuse les informations régionales.
" Mesdames et Monsieur, une depêche viens de nous parvenir : un cambrioleur très dangereux s'est échappé il y a quelques heures de prison. Il est connu pour avoir tué lors de ses cambriolages, et ne recule devant rien pour de l'argent. Il a déjà assassiner une dizaine de personnes. Si vous l'apercevez, ne vous approchez SOUS AUCUN PRETEXTE et appellez immédiatemant la police qui vous indiquera la marche à suivre. Merci de transmettre ce message à toutes les personnes de votre connaissance qui habitent dans la région. "
Effrayée, Sandra se blottit dans son canapé : en effet, s'il lui arrivait quelque chose, personne ne serait au courant...
Tout à coup, derrière la baie vitrée, elle apperçoit un homme, entièrement vêtu de noir, en train de la fixer, une lueur meutrière dans les yeux, avant de partir.
La jeune femme compose aussitôt le 17 sur son téléphone portable, et les policiers lui conseillent de s'enfermer à l'étage et de ne pas en sortir avant leur arrivée. Elle s'éxécute, et attend, terrifiée, dans sa chambre dont elle a soigneuseument vérouillé la porte.
Quelques minutes plus tard, les sirènes de police retentissent et Sandra descend en courant pour les rejoindre.
A sa grande surprise, au rez-de-chaussée, tout est en désordre, et plusieurs meubles manquent à l'appel.
Sandra comprend alors ce qui lui est arrivé : le cambrioleur n'était pas dans le jardin, comme elle l'avait pensé, mais bel et bien chez elle, juste derrière le canapé, et c'est son reflet qu'elle voyait dans la grande fenêtre...
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19 mars 2010
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17:49
Jessica et Léa sont colocataires depuis quelques mois seulement, mais elles s'entendent déjà parfaitement, malgrès leurs différences : Léa fait des études de médecine, passe ses journées à travailler et ne sort que lors de grandes occasions, alors que Jessica, elle, passe ses après-midi à faire les magasins et ses soirées en boîte. Pourtant, leur complicité est totale, et jamais une dispute ne survient entre les deux amies.
Ce soir, une grande soirée est organisée chez une amie de Jessica, et elle tente de convaincre son amie de l'accompagner :
"Allez, Léa ! Viens, tu va voir, tu vas bien t'amuser ! Sors un peu de tes cahiers, faut faire une pause de temps en temps, s'aérer !
-Nan merci Jess, répondit son amie, j'ai une interro et quatres chapitres à apprendre pour demain.
-Pour une fois !
-J'ai dit non.
-Pour me faire plaisir !
-Non c'est non Jess."
En vain. Léa est décidée à travailler ce soir. Résignée, Jessica fait la bise à sa meilleure amie et pars.
~
A environ 3h du matin, Jessica rentre enfin dans le petit appartement après la fameuse soirée. Elle ouvre et entre doucement dans le salon. Elle constate rapidemment que toutes les lumières sont éteintes. Léa doit être en train de dormir. La jeune fille se change silencieusement et rejoint sa chambre, lumières éteintes pour ne pas réveiller sa colocataire.
~
Le lendemain matin, Jessica se réveille et se retourne vers le lit de son amie.
Elle hurle de terreur.
Léa est éventrée sur son lit et baigne dans son sang.
Au dessus d'elle est écrit en grandes lettres rouges :
" Heureuse de ne pas avoir allumé la lumière ? "
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14 mars 2010
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11:50
Ce matin, résultats du bac. Avec ses amis lycéens, David se précipite sur les listes affichées au mur pour savoir si il est reçut. Il parcourt fébriement les noms qui recouvrent les feuilles. Soudain, sur sa gauche, son meilleur ami Julien s'écrit :
" David ! Viens voir ton nom est là ! T'es reçut !"
Le jeune homme explosa de joie. Il avait réussi ! Après avoir passer des heures à réviser, il avait enfin eu son Bac !
C'était trop beau pour être vrai ! Il pourrait enfin quitter la maison familliale pour faire ses études sur Paris, et à lui la belle vie !
Tout content, le jeune dipômé rentra chez lui annoncer la nouvelle à ses parents, en promettant à ses amis de se rendre à la fête des bacheliers qui avait lieu le soir même.
Evidemment, une fois à la maison, l'heureuse nouvelle fût fêtée comme il se doit et David commença à se préparer pour la fête.
Il se demandait si tous les élèves de sa classe iraient. De toute façons, ceux qui n'avaient pas eu le bac n'aurait aucune raisons de s'y rendre. Tout en s'interrogeant, David fouille dans son armoire pour en sortir une tenue à peu près correcte et repassée.
Quelques heures plus tard, le jeune diplômé est à la fameuse fête. Bonne ambiance, musique à la mode, tous ses amis sont présents, ainsi que beaucoup de jeunes filles qu'il ne connaît pas. La soirée promet d'être interressante.
Une jeune fille en particulier lui a tapé dans l'oeil. Assez grande, élancée, blonde, mini-jupe et débardeur, elle est tranquilement installée au bar, entourée de quelques filles. En apercevant son regard, elle lui fait un clin d'oeil et l'invite à les rejoindre.
Ils discutent et boivent jusque tard dans la nuit, et David propose de la raccompagner chez elle. Flattée, la jeune femme accepte. En bas de son immeuble, elle l'informe qu'elle vit en colocation et que, justement, sa colocataire n'est pas là ce soir...
Ils passent la nuit ensemble.
Le lendemain matin, David se réveille et se demande où il se trouve. La mémoire lui revient et il tapote les couvertures à côté de lui. La demoiselle doit déjà être réveillée. Le jeune homme se lève et parcours l'appartement.
Personne.
Il se rend alors dans la salle de bain, et trouve sur le miroir un message, écrit au rouge à lèvres :
"Bienvenue dans le monde du SIDA"
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27 février 2010
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13:57
Deux amies, Elise et Anna, vivent ensemble en colocation. Elles sont très proches l'une de l'autre, et passe la plupart de leur temps ensemble. Mardi soir, Anna décide de sortir dans une boîte branchée qui vient juste d'ouvrir, et propose à son amie de venir avec elle. Elise refuse, pretextant un mal de tête. Anna insiste un peu puis part se préparer.
Avant de partir, elle lui dit de ne pas l'attendre pour aller se coucher, et qu'elle va surement rentrer tard. Elise lui souhaite une bonne soirée.
Une fois la colocataire partie, la jeune femme regarde un peu la télévision, et tombe sur une émission décrivant les meutres les plus affreux et les affaires dont on a jamais trouvé le coupable. Seule chez elle, Elise est un peu angoissée, éteint la télévision et va se coucher.
En pleine nuit, elle se réveille, et elle entend des bruits étranges venir de l'entrée, et du le salon. Elise se précipite dans la salle de bain et verrouille la porte. Les bruits se rapprochent, et elle entend quelque chose taper contre le battant. Térrifiée, elle n'ose plus bouger.
Heureusement les bruits faiblissent, puis cessent totalement.
Malgrès tout, Elise reste enfermée dans la salle de bains.
Le lendemain, la matinée est bien avancée quand Elise se décide à sortir.
Elle ouvre la porte et reste tétanisée : Anna est allongée sur le sol, dans un bain de sang, et ses ongles ont laissés des traces sur la porte...
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22 février 2010
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13:22
Marc était un écrivain très célèbre, qui avait reçut de nombreux prix, et dont tous les critiques vantaient le talent. Il recevait chaque jour des lettres de fans, et également des manuscrits d'écrivains amateurs. Ils répondaient aux fans par des lettres, mais il prennait un malin plaisir à critiquer les manuscrits, à affirmer que leur auteur n'avait aucun talent et à leur dire que ce métier n'était surement pas fait pour lui.
Un jour, Marc reçut un manuscrit écrit dans un très beau livre relié. Il lut le premier chapitre et avait l'impression qu'il connaissait cette histoire. Il continua donc sa lecture, toujours avec le même sentiment. Plus il avançait dans l'intrigue, plus il était persuadé de connaître la fin. Il était déjà tard, mais Marc voulait à tout prix savoir si il avait raison ou non.
Il continua à lire, encore et encore, et réalisa que les dernières pages étaient collées. Il les décolla, et continua sa lecture. Il se sentait de plus en plus fatigué mais il continuait encore et toujours. Enfin, il finit le livre. C'était exactement la fin qu'il pensait : la mari était pendu au moment même où sa femme se suicidait.
Après le mot "FIN", il était écrit un petit commentaire de l'auteure :
"Je sais ce que vous allez dire : mon livre est pitoyable, et je n'ai aucun talent. Je le sais, car vous me l'avait déjà dit, il y a quelques années, la première fois que je vous ait envoyé cette histoire. Je sais que vous dites ça à tous les jeunes auteurs, mais je ne suis pas d'accord. Cette histoire, j'ai mis des années à l'écrire, à la corriger, à l'élaborer, à la soigner. Quand vous m'avez envoyé votre réponse, j'étais abattue. Alors, j'ai décidé de me venger. Vous avez du décoller les dernières pages pour lire, n'est-ce-pas ? Et bien elle contenait de l'arsenic. Vous vous sentez fatigué ? C'est normal , c'est l'un de ses effets, avant que votre coeur ne s'arrête définitivement. Ne dérangez pas les urgences, l'arsenic n'a pas d'antidote, et, de toute façon, vous y êtes exposé depuis trop longtemps."
Marc se sentait mal, et il réalisa que c'était bientôt sa fin. Dans un acte désepéré, il essaye d'aller prévenir ses voisins, mais il s'écroula, sans vie, devant sa porte.
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21 février 2010
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19:17
Lydie, jeune femme d'une vingtaine d'années, est célibataire depuis trois ans. En effet, son ex fiancé avait été retrouvé dans une cave, égorgé et sauvagement mutilé, et elle ne s'était jamais remise de sa mort, d'autant plus que le coupable n'avais jamais été arrêté. Un soir, en voiture, elle rentre du supermarché. Elle est perdue dans ses pensées, et peu attentive à la route. Soudain elle aperçoit un jeune homme sur la chaussée, tente de freiner, mais il est déjà trop tard : elle l'a renversée. Elle appelle les urgences, qui l'enmène à l'hôpital. Le jeune homme est dans le coma. Rongée par la culpabilité, Lydie vient souvent le voir pour le veiller, et interroge les médecins sur son état.
Après quelques mois, il sort du coma, mais il a perdu l'usage de la parole, et il est totalement amnésique. Lydie vient le voir tous les jours, l'aide à retrouver l'usage de la parole. Plusieurs mois après l'accident, il sort de l'hôpital et ils continuent de se voir, s'invitent, et ils tombent follement amoureux. Ils finissent même par enménager ensemble. Lydie pense enfin avoir retrouvé le bonheur.
Mais un jour, le jeune homme recouvre la mémoire en voyant une photo de l'ex-fiancé de Lydie. Mais pourquoi reconnaissait il ce jeune homme, alors qu'il ne connaissait pas Lydie, ni personne de sa famille.
Tout simplement car il avait l'avait déjà croisé ... pour le tuer !
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17 février 2010
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10:03
Rentrant de vacances et roulant sur l'autoroute, Corinne remarque que sa jauge d'essence commence à être basse. Elle décide alors de s'arrêter à la prochaine aire de repos pour faire le plein.
A près avoir payé, en repartant, elle remarque un homme qui lui fait signe de s'arrêter, elle l'ignore et quitte la station.
Lorsqu'elle sort de l'autoroute, l'homme la suit en voiture. De plus en plus inquiète, elle accélère et vérouille les portes de sa voiture. Elle finit par le semer à un rond-point. Soulagée, elle continue tranquillement sa route jusque chez elle et rentre dans sa maison.
En passant devant la fenêtre, elle pousse un cri : l'homme est garé devant chez elle et lui fait de nouveau signe ! Il essayait, depuis l'arrêt de Corinne à la station, de la prévenir que quelqu'un se cachait sur sa banquette arrière...
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11 février 2010
4
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17:01
En fin après-midi, alors qu'elle est seule chez elle, Julie entend frapper à la porte. Elle ouvre et un jeune homme lui demande si il peut téléphoner car son portable n'a plus de batterie. Julie accepte, et, comme elle le trouve sympathique, elle lui offre un verre. Ils commencent à discuter de tout et de rien, et la conversation se prolonge après le coucher du soleil. Comme il est tard, Julie propose au jeune homme de rentrer chez lui, mais il continue à lui parler de sa passion, la cinéma. Il lui raconte tous les films qu'il a vu et lui demande son avis. Il fini par parler de Snuff Films, et Julie lui explique qu'elle avait été terrorisée par l'histoire de cette jeune femme piégée par trois psychopathes et devenue elle même actrice d'un snuff movie. Tout en parlant, Julie aperçoit un éclat rouge sous la veste de son invité : le voyant d'une caméra...
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11 février 2010
4
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/2010
11:54
Samedi soir, seule chez elle, Céline décide d'aller au cinéma voir un film d'action sorti il y a une semaine dont les critiques étaient bonnes. Elle va donc en voiture jusqu'au complexe cinématographique situé en centre-ville.
Après la séance, elle retourne à sa voiture et découvre une vieille dame installée sur le siège passager. Intriguée, elle lui demande ce qu'elle fait là. La petite vieille lui répond alors qu'elle est allée au cinéma, que son petit-fils devait venir la chercher mais qu'il n'était toujours pas arrivé et qu'elle avait peur de rentrer à pied seule si tard. Céline lui demande son adresse, et décide de la raccompagner puisqu'elle n'habite pas loin de chez elle.
Sur le trajet, les deux femmes échangent quelques banalités, quand Céline remarque que le vieille dame à des mains assez grandes, plutôt des mains d'homme.
Effrayée, elle continue sa route, et, non loin de chez elle, provoque volontairement un accident. La police arrive, et la "petite vieille" a mystèrieusement disparu. En ouvrant le coffre, ils découvrent une tronçoneuse, des sacs-poubelle et du chloroforme. La police en a déduit que la "petite vieille" était en fait un tueur en série, le "Dépeceur de Mons", qui se déguise en vieille dame pour approcher ses victimes...
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11 février 2010
4
11
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11:42
Un jeune couple en voyage de noces à New York, s'installe dans la chambre d'un magnifique hôtel qu'ils ont louée pour l'occasion. Mais très vite, une odeur insupportable se répend dans la chambre. Les deux jeunes époux, éxcédés, vont se plaindre à l'accueil. L'équipe de l'hôtel s'excuse, va nettoyer la chambre et le directeur leur offre des jetons de casino pour s'excuser. Le couple passe alors l'après-midi et une bonne partie de la soirée à jouer puis retourne dans leur chambre qui sent désormais le produit nettoyant. Le lendemain, ils sont à nouveau réveillés par l'odeur insupportable. Ils font donc leurs valises pour trouver un autre hôtel.
Les femmes de ménage verifièrent alors toutes la chambre et, en nettoyant le matelas, trouvent à l'intérieur un cadavre en décomposition...
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