28 février 2010
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12:39
Il existe, à travers le monde, de nombreuses photos de fantômes. Si il est avéré que la plupart d'entre elles sont truquées, il en reste quelque unes, qui, après de nombreux examens, n'ont jamais révélé leur secret...
Cette photo a été prise par un Nokia par deux copines de fac. Elle a été analysée, mais aucun trucage n'a été trouvé. Par la suite, de nombreuse photos ont été prises à l'aide du téléphone, mais le "fantôme" ne se montre plus.
Racheté par une fac, le petit Nokia a été démonté, analysern remonté, testé, mais aucun défaut n'a été découvert.
Le résultat est sans appel : la photo n'est pas truquée.
Mais alors, que voit on sur cet étrange cliché ?
Cette photo est une des plus ancienne prise de vue de fantôme de toute l'histoire, et une des plus célèbre. Le spectre photographié n'est autre que la très célèbre Brown Lady, qui hante Raynham Hall, et qui a été aperçue par plusieurs témoins au fil des années.
Le 19 Septembre 1936, deux photographes prennent des photos de la demeure pour un magazine. Soudain, l'un des deux aperçoit une forme brumeuse dans les esclaliers. Il demande à son coéquipier si celui-ci est près à prendre une photo. Ce dernier acquiesce. La photo est prise.
Avant de la développer, un des deux photographes insistent pour qu'un chimiste assiste à l'opération, pour qu'il puisse certifier qu'aucun trucage n'a été réalisé.
Il se peut que la photo puisse être une double exposition, mais pourquoi ces deux photographes célèbres voudraient ils salir leur réputation en publiant une fausse photo de fantôme ?
Quoi qu'il en soit, ce cliché est considéré comme le photo de fantôme la plus fiable au monde.
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Spectres
27 février 2010
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13:57
Deux amies, Elise et Anna, vivent ensemble en colocation. Elles sont très proches l'une de l'autre, et passe la plupart de leur temps ensemble. Mardi soir, Anna décide de sortir dans une boîte branchée qui vient juste d'ouvrir, et propose à son amie de venir avec elle. Elise refuse, pretextant un mal de tête. Anna insiste un peu puis part se préparer.
Avant de partir, elle lui dit de ne pas l'attendre pour aller se coucher, et qu'elle va surement rentrer tard. Elise lui souhaite une bonne soirée.
Une fois la colocataire partie, la jeune femme regarde un peu la télévision, et tombe sur une émission décrivant les meutres les plus affreux et les affaires dont on a jamais trouvé le coupable. Seule chez elle, Elise est un peu angoissée, éteint la télévision et va se coucher.
En pleine nuit, elle se réveille, et elle entend des bruits étranges venir de l'entrée, et du le salon. Elise se précipite dans la salle de bain et verrouille la porte. Les bruits se rapprochent, et elle entend quelque chose taper contre le battant. Térrifiée, elle n'ose plus bouger.
Heureusement les bruits faiblissent, puis cessent totalement.
Malgrès tout, Elise reste enfermée dans la salle de bains.
Le lendemain, la matinée est bien avancée quand Elise se décide à sortir.
Elle ouvre la porte et reste tétanisée : Anna est allongée sur le sol, dans un bain de sang, et ses ongles ont laissés des traces sur la porte...
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Légendes Criminelles
25 février 2010
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16:37
Samedi matin, Lucie reçoit un colis par la poste, mais il n'y a pas de nom d'expéditeur dessus. Intriguée, elle l'ouvre et découvre la boîte d'un puzzle de 500 pièces. Elle réfléchit quelques instants à la personne qui aurait pu lui envoyer ce cadeau, et en conclut que c'est surement sa tante, passionée de puzzles, qui avait du oublier d'écrire son adresse.
Elle pose la boîte sur la table de la cuisine et n'y pense plus de la journée.
Le soir, elle rentre chez elle, mange, et décide de commencer ce fameux puzzle.
Elle s'installe dans son salon et se met au travail.
Après quelques minutes, elle a réussi à reconstituer le cadre.
Une demi-heure plus tard, le puzzle est déjà bien entamé.
Au bout de trois quarts d'heure, elle commence à comprendre ce qui est représenté et s'arrête net : le puzzle représente son salon, et elle même, comme un miroir.
Intriguée, elle continue le puzzle, qui représente bel et bien Lucie.
Son visage prend forme, ainsi que ses mains, puis les meubles derrière elle, et enfin la fenêtre.
Il ne lui reste plus qu'une pièce à mettre, au niveau de la fenêtre : le visage effrayant d'un homme qui l'observe...
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Légendes Fantastiques
25 février 2010
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11:50
Monsieur et Madame Martin, couple assez fortuné, vivent dans une grande maison, une formidable demeure entourée d'une forêt. Ils sont les heureux parents de deux jeunes bambins, Léo, 4 ans, et Thomas, 2 ans.
Un soir, le couple est invité à manger chez des amis à 8h, et la soirée risque de se prolonger tard dans la nuit. Ils appellent alors leur baby-sitter habituelle pour veiller sur leurs deux petits garçons. Elle arrive à l'heure, et ils partent, confiants, à leur soirée. La baby-sitter, habituée de la maison, s'installe dans le salon et allume la télévision, sans aller voir les deux petits, qui doivent dormir paisiblement dans leurs chambres.
Soudain, le téléphone sonne.
Pensant que ce sont les parents qui ont oublié quelque chose, elle décroche :
"Allo ?
-Pourquoi ne viens tu pas voir les enfants ?
-Mais qui êtes ..."
Trop tard, l'homme mystérieux a déjà raccroché. La jeune fille ne s'inquiète pas, pensant à une mauvaise blague. Elle se réinstalle devant la télévision, qui commence à diffuser sa série préférée.
Une demi-heure plus tard, le téléphone sonne à nouveau. La baby-sitter se lève pour décrocher.
"Allo ?
-Pourquoi ne viens tu pas voir les enfants ?
-Pourquoi...
-Clac !"
L'étrange homme a de nouveau raccroché. La jeune femme se demande qui peut bien s'amuser à lui faire peur.En tout cas, il a réussi : la baby-sitter est angoissée et ne cesse de regarder par la fenêtre ou vers la porte, au cas où on viendrait l'attaquer. Pour se rassurer, elle augmente le son de a télévision, et zappe sur un bétisier pour se détendre.
Il se passe une heure, durant laquelle elle jette des coup d'oeils inquiets au téléphone. Voyant qu'elle ne reçoit pas d'autres coups de fils, elle commence à se détendre, quand soudain : Driiiiiiiiiiing ! Driiiiiiiiiiing !
Le téléphone sonne, insistant.
La jeune femme est terrifiée, elle se dit qu'elle n'as qu'à le laisser sonner, mais d'un autre côté, ell ne peut pas : et si c'était les parents qui cherchaient à la joindre ? Elle ne peut pas les laisser s'inquiéter. Prenant son coirage à deux mains, elle se lève et décroche :
"Oui ?
- Pourquoi ne viens tu pas voir les enfants ?
-Qu'est ce que vous me voulez !
-Clac.
Comme à chaque fois, le mystérieux homme à raccroché après avoir délivré son message terrifiant. La baby-sitter décide d'en avoir le coeur net : elle appelle la standardiste pour connaitre la provenance de ces appels. Elle lui demande de patienter quelques instants.
Inquiète, la jeune femme patiente.
La standardiste lui répond enfin :
"Les appels proviennent de la deuxième ligne de la maison, a l'étage ! Sortez de la maison ! Vite ! J'appelle la police !"
La baby-sitter quitte à toute vitesse l'immense demeure.
Lorque la police arrive, elle trouve tout d'abord la baby-sitter, en pleurs.
Ils entrent dans la maison, montent au deuxième étage.
Les deux enfants, Léo et Thomas, sont morts dans leurs lits.
Leur tueur, le fou, le mystérieux homme qui voulait à tout prix attirer la baby-sitter pour la tuer, quand à lui, n'as pas été arrêté. Aujourd'hui, il est toujours en liberté, peut être près de chez vous...
Au fait, es-tu allé voir les enfants ?
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Légendes De Fous
22 février 2010
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13:22
Marc était un écrivain très célèbre, qui avait reçut de nombreux prix, et dont tous les critiques vantaient le talent. Il recevait chaque jour des lettres de fans, et également des manuscrits d'écrivains amateurs. Ils répondaient aux fans par des lettres, mais il prennait un malin plaisir à critiquer les manuscrits, à affirmer que leur auteur n'avait aucun talent et à leur dire que ce métier n'était surement pas fait pour lui.
Un jour, Marc reçut un manuscrit écrit dans un très beau livre relié. Il lut le premier chapitre et avait l'impression qu'il connaissait cette histoire. Il continua donc sa lecture, toujours avec le même sentiment. Plus il avançait dans l'intrigue, plus il était persuadé de connaître la fin. Il était déjà tard, mais Marc voulait à tout prix savoir si il avait raison ou non.
Il continua à lire, encore et encore, et réalisa que les dernières pages étaient collées. Il les décolla, et continua sa lecture. Il se sentait de plus en plus fatigué mais il continuait encore et toujours. Enfin, il finit le livre. C'était exactement la fin qu'il pensait : la mari était pendu au moment même où sa femme se suicidait.
Après le mot "FIN", il était écrit un petit commentaire de l'auteure :
"Je sais ce que vous allez dire : mon livre est pitoyable, et je n'ai aucun talent. Je le sais, car vous me l'avait déjà dit, il y a quelques années, la première fois que je vous ait envoyé cette histoire. Je sais que vous dites ça à tous les jeunes auteurs, mais je ne suis pas d'accord. Cette histoire, j'ai mis des années à l'écrire, à la corriger, à l'élaborer, à la soigner. Quand vous m'avez envoyé votre réponse, j'étais abattue. Alors, j'ai décidé de me venger. Vous avez du décoller les dernières pages pour lire, n'est-ce-pas ? Et bien elle contenait de l'arsenic. Vous vous sentez fatigué ? C'est normal , c'est l'un de ses effets, avant que votre coeur ne s'arrête définitivement. Ne dérangez pas les urgences, l'arsenic n'a pas d'antidote, et, de toute façon, vous y êtes exposé depuis trop longtemps."
Marc se sentait mal, et il réalisa que c'était bientôt sa fin. Dans un acte désepéré, il essaye d'aller prévenir ses voisins, mais il s'écroula, sans vie, devant sa porte.
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Légendes Criminelles
21 février 2010
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19:17
Lydie, jeune femme d'une vingtaine d'années, est célibataire depuis trois ans. En effet, son ex fiancé avait été retrouvé dans une cave, égorgé et sauvagement mutilé, et elle ne s'était jamais remise de sa mort, d'autant plus que le coupable n'avais jamais été arrêté. Un soir, en voiture, elle rentre du supermarché. Elle est perdue dans ses pensées, et peu attentive à la route. Soudain elle aperçoit un jeune homme sur la chaussée, tente de freiner, mais il est déjà trop tard : elle l'a renversée. Elle appelle les urgences, qui l'enmène à l'hôpital. Le jeune homme est dans le coma. Rongée par la culpabilité, Lydie vient souvent le voir pour le veiller, et interroge les médecins sur son état.
Après quelques mois, il sort du coma, mais il a perdu l'usage de la parole, et il est totalement amnésique. Lydie vient le voir tous les jours, l'aide à retrouver l'usage de la parole. Plusieurs mois après l'accident, il sort de l'hôpital et ils continuent de se voir, s'invitent, et ils tombent follement amoureux. Ils finissent même par enménager ensemble. Lydie pense enfin avoir retrouvé le bonheur.
Mais un jour, le jeune homme recouvre la mémoire en voyant une photo de l'ex-fiancé de Lydie. Mais pourquoi reconnaissait il ce jeune homme, alors qu'il ne connaissait pas Lydie, ni personne de sa famille.
Tout simplement car il avait l'avait déjà croisé ... pour le tuer !
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Légendes Criminelles
21 février 2010
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12:41
Un soir, Cédric, alors qu'il vient de ramener sa copine chez elle en moto, aperçoit sur le bord de la route une jeune femme faisant du stop. Il décide de la prendre avec lui. Comme il fait froid, et qu'il est galant, il lui prête sa veste. Pendant la route, elle parle très peu, se contentant de lui indiquer son adresse et de répondre à ses questions par monosyllabes. Ils arrivent alors devant chez elle. Cédric gare sa moto et lui souhaite une bonne soirée. L'étrange jeune fille répond par un signe de tête et empreinte l'allée qui mène à sa maison. Cédric l'observe jusqu'à ce qu'elle rentre chez elle, puis redémarre. Soudain, il réalise qu'il a oublié de récupérer sa veste. Il est tard, il est déjà loin de la maison de le jeune fille, il est fatigué, alors il décide de repasser le lendemain. Il rentre chez lui et monte se coucher. Le lendemain, comme prévu, en début d'après midi, il retourne à la demeure de la jeune femme. Il se gare, remonte l'allée et sonne. Une femme assez âgée lui ouvre et lui demande ce qu'il veut. Il lui explique qu'il a laissé une jeune fille ici la veille, et qu'elle a oubliée de lui rendre sa veste. La vieille femme, intriguée, lui demande de patienter quelques instants et entre dans sa maison. Plusieurs minutes plus tard, elle revient avec une photo et lui demande si c'est bien elle qu'il a raccompagnée. Cédric acquiesce. Etonnée, elle lui demande si il est certain que c'est cette jeune fille. Cédric lui affirme que c'est bien elle. Elle lui explique alors que cette jeune femme est sa fille, et qu'elle est morte d'un accident de moto il y a un an exactement, près de l'endroit où il l'a prise en stop. Secoué, Cédric rentre chez lui, puis sur le chemin, il décide d'en avoir le coeur net, et bifurque vers le cimetière municipal. Là il cherche la tombe de sa passagère. Au détour d'un allée, il la trouve, et là a son grand étonnement, sa veste est posée dessus...
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Légendes Fantastiques
17 février 2010
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10:03
Rentrant de vacances et roulant sur l'autoroute, Corinne remarque que sa jauge d'essence commence à être basse. Elle décide alors de s'arrêter à la prochaine aire de repos pour faire le plein.
A près avoir payé, en repartant, elle remarque un homme qui lui fait signe de s'arrêter, elle l'ignore et quitte la station.
Lorsqu'elle sort de l'autoroute, l'homme la suit en voiture. De plus en plus inquiète, elle accélère et vérouille les portes de sa voiture. Elle finit par le semer à un rond-point. Soulagée, elle continue tranquillement sa route jusque chez elle et rentre dans sa maison.
En passant devant la fenêtre, elle pousse un cri : l'homme est garé devant chez elle et lui fait de nouveau signe ! Il essayait, depuis l'arrêt de Corinne à la station, de la prévenir que quelqu'un se cachait sur sa banquette arrière...
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Légendes Criminelles
14 février 2010
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Samedi après-midi, Mme Julie décide d'enmener sa fille au marché aux puces. En se prommenant dans les allées, la fillette remarque une jolie poupée de porcelaine, en bon état, et la réclame à sa mère. Mme Julie demande le prix au vendeur et achète la petite poupée à sa fille.
De retour chez elle, la fillette commence à jouer avec sa nouvelle poupée, une jolie poupée en robe rose, aux yeux bleus et aux cheveux blonds. Dans une main elle tiens une jolie ombrelle, et l'autre a deux doigts levés. La mère, qui a d'autres courses à faire, laisse sa fille seule chez elle environ une heure, le temps d'aller au supermarché du coin.
La petite reste alors seule dans sa chambre, à jouer avec sa poupée. Soudain, elle entend le téléphone sonner et descend dans la salle à manger pour répondre.
"Ne joue pas avec ta poupée après minuit !" lui ordonne une voix avant de raccrocher.
Effrayée, la petite fille retourne dans sa chambre et range sa poupée au fond de son coffre à jouets.
Sa mère rente un peu plus tard, et la petite fille ne lui parle pas du coup de téléphone, ni de sa poupée.
Une semaine se passe sans aucun problème, jusqu'au samedi suivant. En effet, Mme Julie est invitée à une soirée, et, comme elle n'as pas trouvé de baby-sitter, décide de laisser sa petite seule chez elle. Elle pars donc en voiture, et passe la nuit à cette fameuse soirée. Lorsqu'elle rentre, à une heure du matin, elle décide d'aller voir dans la chambre de sa fille si elle dors.
Elle ouvre la porte et pousse un cri.
Sa fille est allongée sur le sol, égorgée.
Le coffre à jouets est ouvert, et à côté de lui se trouve la poupée de porcelaine.
Malgrè une enquête, la police n'as trouvé de traces ni d'effraction, ni du meurtrier.
La mère, folle de douleur, décida de revendre la poupée de sa petite fille, qui avait désormais trois doigts de levés...
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Légendes Fantastiques
14 février 2010
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La plus connue des maisons hantées de tous les temps se situe au 112 Ocean Avenue, à Amityville. Les faits qui s'y déroulèrent donnèrent lieu à de nombreux livres et films. De nos jours, des années après cette étrange histoire, l'affaire est toujours contreversée, et peut-être ne saurons nous jamais ce qui s'est réellement produit dans cette mystérieuse maison.
La Maison :
La maison du 112 Ocean Avenue a été construite en 1928, dans le style colonial, et comporte trois étages. Selon certaines rumeurs, la seule sorcière de Salem ayant échappé au procès aurait vécu sur les lieux, et la petite ville côtières d'Amityville aurait était érigée sur le site d'un ancien cimetière indien. Ces deux rumeurs, totalement invérifiables, sont utilisées par certains comme explication à ce qu'il s'est produit.
Le Meutre :
La nuit du mercredi 13 novembre 1974, à 3h15, Ronald DeFeo assassine à l'aide de son fusil son père, Ronald, sa mère, Louise, ses deux soeurs, Dawn et Alison, et ses deux frères, Mark et John, dans leur sommeil. La police arrive sur les lieux une demi-heure plus tard, suite à un appel, et découvre les 6 corps. Après une enquête, Ronald est considéré comme le suspect principal, jusqu'à ce qu'il avoue les faits. Lors du procès, il expliquera que c'est Satan qui lui a ordonné le meutre, qu'il arait entendu des voix lui disant : "Capture-les, tue-les".
Les Lutz :
Après le sextuple assassinat, la demeure des DeFeo est mise en vente à très bas prix, mais elle ne trouve pas acquéreur au vu se son passé tragique. Cependant, le couple Lutz, récemment marié et ayant trois enfant d'un ancien mariage, la visite, et l'achète, pensant trouver la maison de leurs rêves. Ils vont vite s'apercevoir du contraire.
La Maison du Diable :
Dès leur installation, les Lutz vont ressentir la présence des esprits qui la hante. Tout d'abord, ils firent appel à un prêtre pour bénir la maison. Lorsqu'il entra la maison, il entendit simplement une voix forte lui dire "Vas-t-en !". Ce fut le commencement du cauchemard des Lutz. Les premiers phénomènes apparurent : ap
parition de nuées de mouches en plein hiver, odeurs étranges de vieux parfum, changements brusques de température, ...
Le père de famille, toutes les nuits, était tiré de son sommeil, à 3h15, heure du massacre des DeFeo...
Mélissa, la cadette, parle à plusieurs reprises d'une certaine Jodie qu'elle verrait dans la maison. Kathy, quant à elle, fût la plus touchée par les démons. Elle sent des bras invisibles la serrer, tenter de la posséder, et des marques rouges apparaissent sur sa peau, comme si elle avait été brulée...
Un des épisodes marquant de leur calvaire fût la découverte, à la cave, d'un réduit entièrement peint en rouge, qui ne figure sur aucun plan, et dont le chien n'ose pas s'approcher...
Un lion de céramique de plus de 1 mètre se met à bouger seul...
Après une chute ne neige, des traces de sabots sont aperçues tout autour de la maison et mènent au garage, dont la porte est totalement arrachée.
George, le père, entend des bruits de bottes et d'instruments à vent, mais de vois rien, et trouve les meubles, chaises, table, fauteuils, repoussés contre les murs, comme pour laisser passer cette fanfare diabolique...
Toutes la famille reçoit la visite d'apparations : cochons diaboliques, grandes silhouettes encapuchonnées de blancs, ou encore formes cornues aux yeux ardents.
La fuite des Lutz :
L'évènement surnaturel qui décida les Lutz à partir se déroula au début du mois de janvier 1976. Pendant la nuit, Georges, ne trouvant pas le sommeil, décida de se lever pour aller boire un verre d'eau. Il se retourna pour prévenir sa femme et la vit en lévitation au dessus du lit. Le plus horrible est que, lorsqu'il tura sur sa manche pour la faire redescendre, elle prit pendant quelques instants l'aspect d'une vieille femme, ridée et hideuse. C'en fût trop pour les Lutz qui partirent en plein milieu de la nuit, laissant derrière leurs meubles et leurs biens, et surement le mois le plus terrifiant de leur vie...
Au final, ils ne seront restés que 28 jours dans "la maison de leurs rêves".
L'affaire d'Amytiville a toujours divisé, certains prétendant que les Lutz voulaient de l'argent, d'autres que leur demeure est réellement hantée par des esprits démoniaques. Aujourd'hui, la maison est habitée et semble paisible, mais certains dise que lorsqu'on l'achète , les nouveaux propriétaires doivent signer un document comme quoi ils garderont le silence en cas de manifestations surnaturelles, ou encore que tous les propriétaires suivants les Lutz sont des satanistes, qui sont donc immunisés contre ce type de manifestations.
Alors, démons ou supercherie ? C'est à vous de choisir...
Published by Aela S.
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Lieux hantés
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